Le constructeur de
voitures de sport
Porsche a livré
225 121 voitures dans le monde en 2015, un chiffre en hausse de 19% par rapport aux ventes enregistrées en 2014 (189 849 voitures).
Porsche bat ainsi son
record de ventes annuelles pour la cinquième année consécutive et franchit pour la première fois la
barre des 200 000 voitures vendues dans le monde.
Porsche affiche une
progression de ses ventes dans toutes les régions et tous les marchés où la marque de Stuttgart est présente.
Pour la première fois, la
Chine s'est placée en tête des marchés nationaux, avec un chiffre de
58 009 véhicules vendus (plus 24% par rapport à 2014), suivie des
États-Unis, avec un chiffre de
51 756 (plus 10 %).
Le
marché européen progresse de
24 %, avec
75 354 exemplaires vendus.
L'
Allemagne est le premier marché national en Europe, avec
28 953 voitures vendues (plus 21%).
Les
SUV Porsche sont clairement les modèles qui contribuent le plus à la croissance.
Le
Macan contribue très largement à cette progression de Porsche avec plus de
80 000 exemplaires vendus dans le monde pour sa première année complète de disponibilité sur les marchés.
Le
Cayenne suit de peu avec
73 119 exemplaires vendus. En glissement annuel, le Cayenne affichent un taux de croissance à deux chiffres.
Le Cayman enregistre une légère croissance de 1%.
Les
Porsche Panamera et Porsche Boxster restent en deçà des chiffres de 2014.
La
Porsche 911 s'est vendue à près de 32 000 exemplaires, dépassant de 4% le niveau des ventes atteint en 2014.
« Ces chiffres témoignent de l'attractivité de la marque et des produits que nous avons lancés sur le marché ces dernières années », souligne
Oliver Blume, Président du Directoire de Porsche.
« Nous récoltons les fruits de notre approche qui consiste à développer, produire et vendre des voitures de sport aptes à transmettre des émotions intenses. » Toutefois, la réussite de Porsche ne se mesure pas principalement à l'aune du nombre de voitures vendues dans le monde.
« Pour nous, l'enthousiasme du public, la rentabilité opérationnelle et la pérennité des emplois comptent bien davantage », souligne Oliver Blume.