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Des coûts de réparation inférieurs d’environ 50 % à ceux du remplacement
Pour alléger le poids des voitures, et diminuer le coût des réparations lors des petits chocs de carrosserie et le montant des polices d'assurance, les constructeurs automobiles ont multiplié au cours des dernières années le nombre de pièces de carrosserie en matériaux plastiques.
Si les ailes, calandres, pare-chocs, et boucliers sont endommagés lors d'un accident de la circulation, dans bien des cas, ils peuvent être réparés plutôt que d'être automatiquement remplacés.
Il suffit pour cela de remplacer la partie en matériaux plastiques endommagée par des matériaux composites. Selon les cas, la réparation s'effectue à froid ou nécessite une soudure à chaud.
La réparation est plus rapide que le remplacement car il n'y a pas à attendre la nouvelle pièce et beaucoup moins chère. La réparation couterait environ moitié moins chère que le remplacement.
Enfin, la réparation d'une pièce à base de matériaux plastiques a des vertus écologiques. Réparer un pare-chocs plutôt que le remplacer évite d'en fabriquer un nouveau à base de matériaux plastiques (de l'ordre de 10 kg) et d'en recycler un à base de la même quantité de matériaux plastiques. Dans la plupart des cas, lorsque la pièce en matériaux plastiques est réparable, esthétiquement et en terme de sécurité, il n'y a pas de différences entre la réparation et le remplacement.
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