Le Kia Sportage est commercialisé avec une motorisation 1.6 litre essence GDi de 135 ch et deux moteurs diesel CRDi de 115 ch (1.7 litre) et 136 ch (2.0 litres).
En essence 1.6 GDI 135 ch, le Kia Sportage émet 149 g de CO2/km. Le crossover Kia est dans la classe D de l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie) et dans la zone du malus écologique à l'achat de 900 euros en 2016.
Avec le moteur 1.7 CRDi 115 ch, le Sportage deux roues motrices affiche des émissions de CO2 de 135 g/km qui le place dans la classe C de l'ADEME et dans la zone du malus écologique de 150 euros en 2016.
Avec le moteur 2.0 CRDi 136 ch, le Sportage affiche des émissions de CO2 de 147 g/km en deux roues motrices. En quatre roues motrices, elles sont de 149 g/km. Le véhicule est dans la classe D de l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie). Il se positionne dans la zone du malus écologique à l'achat de 900 euros en 2016.
Le Kia Sportage est doté d'un système d'aide à la conduite économique "ECO". Le système permet de réaliser des économies de carburant d'environ 8% en boîte de vitesses manuelle à six rapports.
Question consommations, elles sont relativement basses pour la catégorie.
En essence 1.6 GDI 135 ch, le Kia Sportage consomme 6,4 litres aux 100 km en cycle mixte (7,5 litres aux 100 km en ville et 5,8 litres aux 100 km sur route).
En 1.7 CRDi 115 ch, il affiche une consommation mixte de 5,2 litres aux 100 km (6 litres aux 100 km en ville et 4,8 litres aux 100 km sur route).
Le Kia Sportage 2.0 CRDi 136 ch deux roues motrices consomme 5,5 litres aux 100 km en cycle mixte. En ville, le crossover Kia 2.0 CRDi 136 ch consomme 6,6 litres, pour 4,9 litres sur route.
En quatre roues motrices, comptez des consommations supérieures de 0,2 litre aux 100 km, soit une consommation en cycle mixte de 6,8 litres aux 100 km (5,1 litres aux 100 km en ville et 5,7 litres aux 100 km sur route).
Pensez-vous que les résultats des élections européennes vont remettre en question l’interdiction de la vente des véhicules thermiques à l’horizon 2035 ?