Avec ses lignes sobres, le Toyota RAV4 est passe partout.
Avec son large bouclier, ses phares effilés intégrés au capot, sa calandre rehaussée de barres horizontales chromées, ses phares antibrouillard cerclés de chrome, son capot à double bossage, le SUV Toyota soigne son apparence et se rapproche des derniers Verso et Avensis.
Son pare-choc assez haut lui permet de franchir des obstacles, sans racler les bas de caisse. A l'arrière, son toit conserve sa hauteur, profitable à l'habitacle.
De profil, on relève sa ceinture de caisse surélevée.
Des feux à LED proéminents s'installent de chaque côté de la porte de coffre à articulation verticale.
Un becquet de toit arrière avec feu stop à diodes fait son apparition.
Le RAV4 est proposé en dix teintes de carrosserie.
A l'intérieur, le dessin de la planche de bord est quant à lui assez futuriste
La planche de bord est correctement finie. La présence d'aluminium brossé sur la console centrale donne une première impression positive. Mais l'utilisation massive de plastiques durs et brillants est décevante.
Globalement, l'ambiance intérieure est assez terne.
La finition est en retrait par rapport aux concurrents européens, et la qualité perçue est assez éloignée des meilleurs SUV compacts.
Pensez-vous que les résultats des élections européennes vont remettre en question l’interdiction de la vente des véhicules thermiques à l’horizon 2035 ?