Lorsqu'un particulier achète un
véhicule d'occasion, il peut connaître l'existant du véhicule mais pas l'historique.
Il se retrouve dans la même situation lorsqu'il revend le véhicule d'
occasion.
35% des véhicules d'occasion vendus ont plus de 11 ans et 25% des véhicules ont eu plus de 4 propriétaires, ce qui amplifie la
perte d'information à la revente.
Par ailleurs, 47% des transactions de véhicules d'occasion ne
sont pas faites dans les normes (compteurs trafiqués, première main douteuse, mensonges, omissions).
10% des véhicules d'occasion ont un compteur trafiqué (dont une grande partie vient de l'étranger).
Le site AutOrigin propose un
certificat du véhicule d'occasion permettant un renforcement de la relation de confiance entre l'acheteur et le vendeur afin de réduire le risque pour l'acheteur.
Les informations garanties communiquées par Autorigin concernent le nombre de propriétaires, la durée de détention par propriétaire, le type d'utilisation (rural, urbain,
), la classification épave, le certificat Crit'Air, le type de propriétaires (VTC, taxi,
voiture école, voiture de démo, société, location courte durée (LCD), locations longue durée (LLD), particulier,...), le véhicule sorti du parc français ou importé et le véhicule resté en stock garage et la durée de stockage.
Par ailleurs, le certificat donne des
conseils de vérifications à faire avant l'
achat en fonction du véhicule et des rappels techniques.
Aujourd'hui, un
vendeur « honnête » est la
victime du risque lié au véhicule d'occasion. Le vendeur vend peu cher un véhicule sans informations cachées.
Le certificat du véhicule d'occasion permet à un vendeur honnête de
vendre son véhicule à un prix reflétant les caractéristiques réelles de la vie du véhicule.
C'est un
élément déclencheur de la vente lorsqu'un particulier manifeste son hésitation, surtout pour un véhicule de plus de 5 ans.
La
transparence de l'information dans une
relation de vente-achat automobile est nécessaire. Elle instaure la confiance qui permet la transaction la plus satisfaisante possible pour les deux parties : le vendeur peut justifier le prix de vente et l'acheteur achète plus rapidement au bon prix, en réduisant le risque de « mauvaises surprises ».