Tout comme le Dacia Lodgy, le Dokker est réalisé sur la nouvelle plateforme M0 Dacia intégrant un nouveau compartiment moteur et une unité arrière spécifique.
Le train avant de type Pseudo Mac Pherson à bras triangulé est celui de la famille Dacia. Issu du Renault Kangoo, le train arrière est à essieu souple à épure programmée associé à des ressorts hélicoïdaux. Il reçoit une barre anti devers de 20,3 mm.
Le Dacia Dokker profite d'une garde au sol de 189 mm qui leur permet d'affronter tous les types de route.
Le Dokker est commercialisé avec quatre motorisations déjà utilisées sur des véhicules Dacia et Renault (1.0 SCe 100 ch, 1.2 TCe 115 ch, 1.5 dCi 75 et 1.5 dCi 90).
La direction du Dokker est précise.
La tenue de route du combispace Dacia est bonne. Son freinage et ses suspensions sont efficaces.
Avec son bloc 1.0 litre essence SCe de 100 ch, le combispace du constructeur roumain affiche un couple de 156 Nm. Associé à une boîte mécanique à cinq rapports, il atteint une vitesse de pointe de 170 km/h avec une accélération de zéro à 100 km/h en 12,7 secondes.
Le bloc essence 1.2 litre TCe de 115 ch dispose de l'injection directe suralimentée. Doté d'un couple de 190 Nm disponible à 2 000 tr/min, il assure de meilleures reprises. Le 1.2 TCe de 115 ch atteint une vitesse de pointe de 175 km/h avec une accélération de zéro à 100 km/h en 10,8 secondes.
Le 1.5 dCi 75 ch délivre un couple de 200 Nm à 1 750 tr/mn. Couplé à une boîte mécanique à cinq rapports, il entraîne le Dokker à une vitesse de pointe de 152 km/h sur circuit avec une accélération de zéro à 100 km/h en 15,5 secondes.
Le 1.5 dCi 90 ch délivre un couple de 220 Nm à 1 750 tr/mn. Couplé à une boîte mécanique à cinq rapports, il entraîne le Dokker à une vitesse de pointe de 163 km/h sur circuit avec une accélération de zéro à 100 km/h en 13,3 secondes.
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