Un petit crossover doté d’une transmission 4 roues motrices AllGrip
Le Vitara repose sur la plateforme technique raccourcie du SX4 S-Cross.
On retrouve sous le capot du Vitara un moteur essence 1.6 litre délivrant une puissance de 120 ch à 6 000 tr/min (et un couple de 156 Nm à 4 400 tr/min), un moteur essence 1.4 litre Boosterjet de 140 ch (et un couple de 220 Nm entre 1 500 et 4 000 tr/min) et un diesel 1.6 litre de 120 ch à 3 750 tr/min (et un couple de 320 Nm à 1 750 tr/min) d'origine Fiat.
Les trois motorisations sont couplées à une boîte de vitesses manuelle à cinq rapports (1.6 VVT 120 ch) ou six rapports (1.4 Boosterjet 140 ch et 1.6 DDiS 120 ch).
Une transmission automatique à six rapports est proposée avec les moteurs essence 1.6 litre VVT 120 ch et 1.4 litre Boosterjet 140 ch.
Une plage de « lockup » étendue favorise l'accélération, la sobriété et le silence de fonctionnement du véhicule. Un mode manuel permet au conducteur de monter et descendre les rapports à l'aide de palettes sans lâcher le volant.
La transmission intégrale AllGrip qui équipe le Vitara propose quatre modes sélectionnables par le conducteur à l'aide d'un simple sélecteur situé sur la console centrale (auto, sport, snow et lock) pour des performances rehaussées dans toutes les conditions de circulations.
La gestion intégrée du moteur, de la transmission, de l'ESP, etc., permet la sélection du mode optimal en fonction des conditions de route et de conduite.
Le mode "auto" donne la priorité au rendement énergétique dans des conditions de conduite normales. Le système fonctionne par défaut en mode deux roues motrices. Il bascule en mode 4 roues motrices s'il détecte un patinage.
Le mode "sport" est destiné aux routes sinueuses. Le système tire profit au maximum des quatre roues motrices en réponse aux sollicitations de l'accélérateur. En bas et en milieu de plage, le système agit sur les caractéristiques d'accélération et de couple pour optimiser la réactivité du moteur et les performances en virage.
Le mode "snow" est destinée aux routes enneigées ou non pavées et aux surfaces glissantes. Le système fonctionne par défaut en mode quatre roues motrices. Il optimise la gestion des quatre roues motrices en fonction des sollicitations de braquage et d'accélération du conducteur afin d'optimiser la motricité et la stabilité sur les surfaces à faible adhérence.
Le mode "lock" est conçu pour permettre au véhicule de se dégager de la neige, de la boue ou du sable. Le système transmet en continu un couple élevé aux roues arrière.
Le moteur 1.6 litre essence VVT délivre une puissance de 120 ch à 6 000 tr/mn et un couple de 156 Nm à 4 400 tr/mn. Le Vitara à traction avant atteint une vitesse de pointe de 180 km/h (180 km/h en 4x4) et accélère de zéro à 100 km/h en 11,5 secondes (12,0 secondes en 4x4).
Le moteur 1.4 litre essence Boosterjet délivre une puissance de 140 ch à 5 500 tr/mn et un couple de 200 Nm entre 1 500 et 4 000 tr/mn. Le Vitara S à traction avant atteint une vitesse de pointe de 200 km/h (200 km/h en 4x4 Automatique) et accélère de zéro à 100 km/h en 9,5 secondes (10,2 secondes en 4x4 Automatique).
Doté d'un turbocompresseur à géométrie variable (VGT), le moteur 1.6 litre diesel DDiS développe une puissance de 120 ch à 3 750 tr/mn et un couple de 320 Nm à 1 750 tr/mn. Le Vitara traction avant atteint une vitesse de pointe de 180 km/h (180 km/h en 4x4) et accélère de zéro à 100 km/h en 11,5 secondes (12,4 secondes en 4x4).
Couplé à une boîte de vitesses automatique à double embrayage (TCSS), le bloc Diesel entraîne le Vitara 4x4 à une vitesse de pointe de 180 km/h avec une accélération de zéro à 100 km/h réalisée en 12,4 secondes. Les changements de vitesses sont très brefs et sans à-coups.
Toutes les versions à boîte de vitesses manuelle disposent du système de coupure du moteur à l'arrêt Auto Start Stop.
La garde au sol minimum est de 185 mm (avec des roues de 16 pouces).
Le Vitara est à l'aise sur le bitume, en ville ou sur autoroute, et en tout-chemin.
Les angles d'attaque de 18,2° et de fuite de 28,2° permettant d'emprunter aisément les routes enneigées ou présentant des ornières profondes.
La suspension avant est du type à éléments MacPherson.
La rigidité des fixations des éléments de suspension avant et des bras inférieurs rehausse la tenue de route et supprime les bruits et vibrations.
Le Vitara est équipé de freins à disque ventilé à l'avant et de freins à disque plein à l'arrière.
Le Vitara est doté d'équipements de sécurité évolués.
Le système de freinage actif d'urgence (sur la version Pack) surveille la route en amont au moyen de capteurs radar millimétriques. La technologie radar lui permet de fonctionner y compris à vitesse élevée, dans l'obscurité, et en cas de pluie ou autres intempéries. Le système de freinage actif d'urgence (RBS) empêche les collisions ou atténue leur gravité grâce à trois fonctions.
En conduite à une vitesse supérieure à environ 5 km/h, le système de freinage actif d'urgence détecte le véhicule qui précède et, en cas de risque de collision, avertit le conducteur afin qu'il freine.
En cas de détection d'un véhicule en amont et d'un risque élevé de collision, le système de freinage actif d'urgence accroît la force de freinage en cas de freinage d'urgence, contribuant ainsi à éviter une collision ou à réduire sa gravité.
Lorsque le système de freinage actif d'urgence détecte un véhicule en amont et établit qu'une collision est inévitable, il serre automatiquement les freins afin d'éviter un impact ou de réduire sa gravité.
Un régulateur de vitesse adaptatif (sur la version Pack) associe la technologie du régulateur de vitesse aux capteurs radar millimétriques du système freinage actif d'urgence pour une conduite plus facile et plus détendue. Le système (ACC) utilise les capteurs radar du véhicule pour mesurer la distance qui le sépare de celui qui précède, et adapte automatiquement la vitesse de conduite afin de maintenir l'une des trois distances de sécurité sélectionnées par le conducteur.
Pensez-vous que les résultats des élections européennes vont remettre en question l’interdiction de la vente des véhicules thermiques à l’horizon 2035 ?