Les
véhicules électriques destinés à un usage urbain affichent des
performances inférieures à celles des véhicules thermiques de petites cylindrées.
Alourdis par des
batteries de 150 à 200 kg, ils affichent des vitesses de pointe d'environ
130 à 150 km/h. Les vitesses maximales des véhicules électriques sont volontairement
limitées par l'électronique par les constructeurs pour préserver la charge des batteries et l'autonomie des véhicules électriques.
Disposant i
mmédiatement du couple disponible, ils se caractérisent par de v
ives accélérations au démarrage. Les performances pour atteindre une vitesse de 50 km/h départ arrêté sont supérieures à celles des petits moteurs thermiques sur les premiers mètres.
Au-delà d'une vitesse de 50 km/h, les accélérations sont linéaires. Les petites
citadines électriques mettent environ
15 secondes pour passer de
0 à 100 km/h.
Conséquence du downsizing réalisé sur les dernières générations de moteurs thermiques à essence (injection directe de carburant et turbo), les véhicules électriques urbains affichent des performances inférieures à celles des véhicules thermiques de petites cylindrées.
Le potentiel de la propulsion électrique est néanmoins important. Ainsi la Tesla Roadster électrique affiche une vitesse de pointe de 201 km/h avec une accélération fulgurante. Le de 0 à 100 km/h est réalisé en moins de 4 secondes au volant du roadster électrique Tesla.