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Aux premiers signes de somnolence, arrêtez-vous et dormez une demi-heure.
28% des conducteurs ont déjà souffert de somnolence au volant.
Un conducteur ne peut pas lutter contre la somnolence au volant.
Et en cas de somnolence, le risque d'avoir un accident est 8 fois plus important qu'en temps normal!
Alors si vous avez du mal à rester éveillé au volant, si vos paupières deviennent lourdes, ou si vous baillez, arrêtez-vous et dormez une demi-heure. Quelque soit le trajet qu'il vous reste à faire, c'est la chose la plus efficace et la plus sûre à faire.
Si vous souhaitez récupérer plus rapidement, prenez un café avant de faire une courte sieste. Le café mettra 20 minutes avant de vous empêcher de dormir. Juste le temps qu'il vous faut pour récupérer et reprendre le volant sans risque de somnolence.
A moins que vous ne soyez en manque de sommeil.
Dans ce cas, votre sieste se prolongera au-delà des 30 minutes.
Sachez-le conduire après 17 heures de veille active équivaut à conduire dans le même état qui serait le votre avec 0,5 g d'alcool dans le sang.
Après 24 heures de veille active, le conducteur se retrouve dans la situation d'un conducteur roulant avec 1 gramme d'alcool dans le sang.
Et, c'est entre 13 h et 16 h et entre 2 h et 5 h du matin que le risque de somnolence est le plus élevé.
Si vous êtes couramment victime de somnolence, évitez les nuits trop courtes dans les jours qui précèdent votre déplacement, éviter également de prendre le volant en fin de journée ou au milieu de la nuit, et arrêtez-vous sur la route toutes les 2 heures.
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